Filiation

L' Âme de l'Europe et le COCEROME, une filiation assumée !

Le 25 mars 1957, 6 pays se réunissaient au Capitole, à Rome, pour signer un traité qui marquera un tournant dans l'histoire, en créant la Communauté économique européenne (CEE) : l'Allemagne, la Belgique, la France, l'Italie, le Luxembourg et les Pays-Bas.

En 1998 est créé le Comité de Coordination pour la Célébration des traités de Rome (COCEROME) pour célébrer l'héritage des pères de l'Europe, formalisé par le Traité de Rome. Son Secrétaire Général, Patrick Huart, sollicita l'aide de Patrick Van den Eede pour organiser un grand concert symphonique en présence du prince Laurent de Belgique et du président de la Commission Européenne, Jacques Santer, le 25 mars de la même année. L'ensemble des institutions européennes, aux côtés de la région de Bruxelles-Capitale s'associèrent à l'événement.

Face à son succès, l'événement sera ensuite répété chaque printemps jusqu'en 2008, avec une diffusion en Eurovision dès 2001.

 




25/03/2008 - Discours du COCEROME



25/03/2008 - Concert du COCEROME en Eurovision

l'Âme de l'Europe, née en 2021 entre la fin de la pandémie mondiale de Covid et le début de la guerre en Ukraine, se veut une descendante directe du COCEROME.

Présidée par Patrick Van den Eede, elle en reprend le flambeau et se dote d'une équipe internationale composée d'artistes, de journalistes, de scientifiques et de personnalités de la société civile impliqués dans la défense de l'environnement, de la culture et des droits humains.Elle se donne pour mission de développer une « Âme européenne » chez les citoyens de l'Union, en s'appuyant sur les acquis du Traité de Rome, et en éclairant le chemin vers une plus grande intégration et une adhésion plus forte des citoyens au grand projet européen.

Elle s'investit pour mieux faire connaître la culture des pays candidats à l'entrée dans l'UE afin de faciliter leur intégration future, et s'emploie à resserrer les liens entre les citoyens européens en privilégiant les échanges culturels et artistiques.

Elle réalise une veille permanente autour des initiatives citoyennes et scientifiques, low tech autant que high tech, qui visent à développer une résilience plus forte face à la crise climatique et à l'effondrement de la biodiversité. Elle met la protection de la planète, donc l'avenir de nos enfants, au sommet de ses préoccupations, aux côtés du développement de la démocratie et du respect des droits humains, loin des pseudo priorités économiques qui consacrent l'accaparement des ressources naturelles et des services écologiques, ne laissant que ruines et désolation comme perspectives d'avenir...

Elle se veut l'héritière des visionnaires humanistes du Siècle des Lumières,
et la protectrice des droits de nos enfants à exister dans un monde sain et en paix !